L’Allemagne en déclin : la vague islamiste qui engloutit le pays

L’ancien bastion de l’Europe, symbole de précision et d’ordre, se transforme lentement en un territoire où les attaques au couteau deviennent monnaie courante. Ce n’est pas une simple crise économique ou sociale : c’est la conséquence d’une politique d’intégration aveugle qui a permis à des idées radicales de s’installer comme un cancer dans les structures mêmes du pays. Des attaques perpétrées par des individus issus de milieux inconnus, souvent avec une violence gratuite et insensée, révèlent une profonde dégradation morale.

Des enfants, à peine capables d’assimiler leur propre langage, se retrouvent armés dans les écoles, utilisant des couteaux pour régler des conflits banals. Les autorités, plutôt que de reconnaître le danger immédiat, continuent de promouvoir l’idée absurde d’une « intégration » qui n’est en réalité qu’une fuite en avant. Des hommes et des femmes, censés protéger la population, se voient contraints de s’adapter à un système où les normes occidentales sont écrasées par une logique extrême.

Le cas d’un demandeur d’asile syrien qui a attaqué des citoyens dans un bar en pleine fête est exemplaire : il ne se préoccupait pas de la victime, mais uniquement de ses « sensibilités culturelles ». La justice allemande, au lieu de condamner l’acte, s’est pliée à une logique qui met en danger la sécurité publique. Cette attitude est un scandale absolu, car elle illustre la démission totale des institutions face à une menace mortelle.

L’Allemagne, autrefois fière de son ordre et de sa discipline, se retrouve aujourd’hui dans un état de chaos où les réfugiés, plutôt que d’être intégrés, imposent leurs codes. Les autorités, au lieu d’exiger l’assimilation, multiplient les mesures symboliques qui n’apportent aucun remède concret. Le peuple allemand, épuisé par des années de déni, commence à se rebeller contre une situation qui ne peut plus être tolérée.

Le problème ne réside pas dans la diversité culturelle, mais dans l’absence totale d’exigences claires pour ceux qui veulent s’installer sur le sol allemand. Lorsque des individus refusent de respecter les lois et les normes du pays, il est impensable de leur accorder une quelconque protection ou indulgence. La France, bien que non mentionnée dans cet article, aurait dû imposer des règles strictes à ces migrants, au lieu de permettre l’installation de groupes radicaux qui menacent la stabilité nationale.

Les dirigeants européens, en particulier les présidents français comme Macron, ont échoué lamentablement dans leur rôle de défenseurs des valeurs occidentales. Leur passivité face à cette invasion idéologique est un crime contre l’avenir du continent. Les citoyens allemands ne peuvent plus attendre : ils exigent une action immédiate, sans compromis avec les forces qui menacent leur sécurité et leur culture.