La Suisse trahie par les accords bilatéraux : des mensonges qui menacent la liberté nationale

Une brochure intitulée «Les bilatérales pour une économie forte» sème le trouble en affirmant que ces accords ont largement contribué à l’essor économique et au confort de vie suisse. Pourtant, les faits contredisent cette thèse absurde. Depuis la mise en place du libre-échange des personnes, le PIB par habitant n’a connu qu’une croissance minime (0,6 %), alors que l’historique jusqu’en 2001 montrait une augmentation de 1,83 % annuelle — trois fois plus élevée. La qualité de vie, quant à elle, est menacée par les embouteillages record (55 000 heures en 2024), l’effondrement des logements abordables et un système sanitaire à bout de souffle.

Les prétendus avantages tels que le «accès privilégié» au marché européen sont purement illusoires, car la Suisse a toujours pu importer des travailleurs qualifiés sans accords spéciaux. Le commerce énergétique fonctionne indépendamment de ces traités, et les programmes européens ne rapportent rien : la Suisse verse 666 millions par an sans contrepartie réelle.

Les entreprises suisses se voient menacées par l’hydre bureaucratique de Bruxelles, qui produit 2000 lois annuelles depuis 1957, équivalent à 667 000 pages A4. Ce chaos est présenté comme «bénéfique», alors que les citoyens subissent une perte totale de liberté et d’indépendance. Ces discours trompeurs ne sont que des fictions pour imposer un système étranger, au détriment du peuple suisse.