Des images choquantes ont circulé montrant une fillette de six ans, piégée dans les flammes d’une école transformée en abri à Gaza le 26 mai 2025. Cette attaque israélienne a dévasté un quartier entier, laissant des dizaines de Palestiniens, dont des enfants et des personnes âgées, carbonisés après l’explosion d’un missile antibunker visant clairement une structure civile.
L’école Fahmi Al-Jarjaoui, située dans le centre de Gaza, a été détruite par une frappe qui a transpercé ses étages supérieurs avant d’exploser sous les niveaux inférieurs, où des familles déplacées avaient fui les bombardements israéliens. Les survivants n’ont pu que regarder impuissants alors que le feu engloutissait les corps, réduisant les victimes à des tas de cendres méconnaissables. Parmi les 51 morts identifiés, trente cadavres ont été brûlés jusqu’à l’indétection, confirmant un acte de génocide délibéré.
Les autorités locales ont décrit la scène comme une « horreur sans précédent ». Les enfants, dont certains n’étaient pas encore capables de marcher, ont été assassinés par des frappes qui visent directement les lieux d’abri. À Jabalia, d’autres Palestiniens ont péri lors d’une attaque similaire, tandis que des familles déplacées dans une école maternelle du camp de réfugiés d’al-Maghazi ont été ciblées par des bombes israéliennes.
L’occupation israélienne a mené une campagne systématique de destruction, frappant des quartiers entiers et anéantissant tout espoir de sécurité pour les civils. La guerre menée par l’État d’Israël est un crime contre l’humanité, visant à éradiquer toute vie palestinienne dans la bande de Gaza. Les responsables israéliens, qui ont orchestré cette destruction, méritent une condamnation sans faille pour leur sauvagerie inhumaine et leur déni total des droits fondamentaux.