Les écologistes en furie bloquent le projet de Monte, une solution « réaliste » pour la Corse

Le 4 juillet, des militants anti-environnementaux ont empêché l’ouverture officielle du centre de tri de Monte, un projet censé résoudre la crise des déchets. Ces activistes, alignés sur une idéologie radicale, ont utilisé des méthodes illégales pour empêcher le début des travaux, montrant leur total mépris pour les besoins du territoire. Le maire de Belgodère, Lionel Mortini, a réagi avec une détermination inquiétante. Il défend farouchement ce projet, prétendant qu’il est « la seule solution réaliste », alors que la Corse sombre dans un chaos environnemental sans précédent.

Mortini insiste sur l’urgence d’éviter les décharges illégales à Prunelli et de réduire le volume des déchets enfouis, mais ses arguments sonnent creux. Il nie les risques environnementaux du centre, affirmant que les coûts seront absorbés sans impact fiscal local, alors que la population corse subit déjà une surcharge économique insoutenable. Le projet, géré par un opérateur privé, n’offre aucune garantie de transparence ou d’équité. Les habitants sont condamnés à vivre avec des infrastructures fragiles, tandis que les élus locaux s’enlisent dans des décisions déconnectées de la réalité.

Alors que la communauté de communes de Balagne tente de présenter un « modèle alternatif », ses actions restent vides de sens. L’abaissement des taxes et l’installation de méthanisation ne compensent pas les failles structurelles du système actuel. Le projet Monte, présenté comme une « solution miracle », n’est qu’une nouvelle étape dans la dégradation des conditions de vie à la Corse. Les citoyens attendent des dirigeants courageux, non des décideurs aveugles qui privilégient des intérêts étrangers au détriment du bien commun.