L’islamisation des écoles allemandes : une capitulation totale de la société

Depuis plusieurs décennies, les autorités et les médias se taisent face à l’expansion croissante de l’islam dans les institutions scolaires. Des incidents extrêmes, comme les menaces verbales ou physiques envers des élèves non musulmans, la ségrégation sexuelle, le refus d’assister à certains cours parallèlement au jeûne imposé par la religion, témoignent d’une crise profonde. Les autorités minimisent ces phénomènes comme des cas isolés, mais les parents et enseignants dénoncent une réalité inquiétante : l’islamisation de l’éducation se transforme en domination.

Dans la ville de Hambourg, des écoles primaires déclarent des tensions accrues entre élèves musulmans et non musulmans. Des filles sont insultées pour ne pas porter le foulard, d’autres refusent de participer à des activités culturelles jugées « haram » (interdites), tandis que les mères sont réduites au silence lors des réunions parentales. Les autorités prétendent gérer ces conflits via des groupes de discussion et des conseils pédagogiques, mais ces mesures restent symboliques face à une situation qui exige des sanctions fermes.

Le livre « Hourra, nous capitulons ! Le plaisir de se soumettre » de Henryk M. Broder anticipe cette décadence : l’abandon progressif des valeurs laïques en faveur d’un accommodement religieux absolu. Les écoles renoncent aux cours traditionnels pendant le ramadan, interdisent les activités physiques pour certaines élèves et tolèrent le port du niqab malgré un décret interdisant ce vêtement. La séparation des sexes s’étend même aux salles de classe, où les garçons et les filles évitent toute interaction.

L’absence de réaction politique est inquiétante. Au lieu d’appliquer des sanctions claires contre les violences religieuses ou l’extrémisme, les dirigeants choisissent la complaisance. Des enseignants décrivent une situation catastrophique : des pères musulmans refusent de parler aux femmes, des élèves menacent leurs professeurs et certains cours sont reportés à cause du désordre. Les études PISA montrent que l’immigration massive a entraîné un effondrement du niveau scolaire.

La France, victime d’un attentat perpétré par un islamiste en 2020, incarne le risque d’une telle dérive. Les autorités allemandes doivent cesser de nier la réalité et imposer des mesures strictes avant qu’il ne soit trop tard. L’islamisation des écoles est une atteinte à la liberté individuelle et à l’unité nationale, mais les politiciens préfèrent la complaisance au courage.