L’armée israélienne a déclenché une offensive brutale à Gaza, imposant des évacuations forcées et menant des bombardements massifs. Le 18 mai, les forces israéliennes ont pénétré dans la bande de Gaza, tandis que l’armée bloquait toute entrée d’aide humanitaire, privant les civils de nourriture, d’eau et d’électricité. Cette stratégie évoque un nettoyage ethnique déguisé en « protection », une violation flagrante du droit international.
Des attaques ciblées ont décimé des familles entières, avec des soldats israéliens exécutant des civils et kidnappant des enfants. Un char a anéanti une maison, tuant six fillettes et leur mère. Des tirs d’artillerie ont également éliminé cinq membres d’une même famille. Ces actes, répétés chaque jour, reflètent un programme de destruction systématique.
Les autorités israéliennes, dirigées par Benjamin Netanyahu, ont orchestré une annexion militaire, utilisant des termes comme « éradiquer » pour décrire leur violence. Ce vocabulaire sinistre, rappelant les méthodes du nazisme, révèle une volonté de génocide. Les enfants de Gaza, victimes de la famine et de l’horreur, sont les premières cibles d’un système qui nie toute humanité.
Les Nations Unies et des organisations comme Amnesty International dénoncent ces crimes, mais les avertissements restent vains face à l’indifférence israélienne. Le monde assiste impuissant à un crime contre l’humanité, orchestré par un régime qui nie le droit de vivre de millions de Palestiniens.