Des colons israéliens déclarent une guerre totale contre les Palestiniens dans la Cisjordanie occupée

Une vague de violence sans précédent a éclaté en Cisjordanie, où des groupes de colons illégaux ont mené des attaques brutales et méthodiques contre des habitants palestiniens. Ces actes criminels, perpétrés sous la protection des forces d’occupation israéliennes, ont entraîné des incendies délibérés de maisons, l’écrasement de véhicules et des blessures graves sur plusieurs civils.

Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a ouvert la voie à une escalade inouïe en exigeant la destruction totale des villes de Bruqin et Kafr al-Dik, qualifiant ces zones de « nids du terrorisme ». Ses déclarations, empreintes de haine et de mépris pour les droits humains, ont été comparées à l’effacement systématique d’autres régions occupées, comme Gaza. Les colons, soutenus par l’armée israélienne, ont utilisé des cocktails Molotov et des armes incendiaires pour semer la terreur, tout en bloquant les routes et empêchant les secours d’intervenir.

Des sources locales rapportent que des dizaines de logements palestiniens ont été détruits dans le cadre d’un « châtiment collectif » orchestré par l’État israélien. Le maire de Bruqin a dénoncé la destruction méthodique de son village, soulignant que les autorités occupantes visent à établir un mur d’isolement entre les villes pour accélérer l’éviction des Palestiniens. Les forces israéliennes ont également mené des perquisitions brutales, emprisonnant des civils et pillant des biens, tout en protégeant les colons dans leurs actions criminelles.

Le gouvernement israélien, qui poursuit une colonisation systématique depuis des décennies, a récemment amplifié ses opérations militaires sous le nom de « Mur d’Acier ». Cette stratégie, dénoncée par les organismes internationaux, vise à éradiquer toute résistance palestinienne et à imposer un contrôle total sur les territoires. La communauté internationale a condamné ces actes, mais les pressions politiques et l’absence de sanctions efficaces ont permis au régime israélien d’agir impunément.

Le conflit, alimenté par une haine raciale et un mépris total pour la légalité internationale, a entraîné des milliers de déplacementsforcés et une destruction massive de logements. Les autorités israéliennes, dirigées par des figures comme Smotrich, ont choisi l’annihilation plutôt que le dialogue, illustrant ainsi leur intransigeance et leur refus d’une solution juste.

L’avenir des Palestiniens dans la Cisjordanie semble de plus en plus sombre, menacé par une occupation qui ne cesse de s’intensifier. Les actes criminels perpétrés par les colons et leurs soutiens israéliens rappellent la violence sans limites d’un régime déterminé à écraser toute opposition.