La Corse, cette île fragile, a été plongée ce dimanche 13 juillet dans un état d’alerte critique en raison d’un épisode météorologique extrême. Météo-France, agence qui n’a jamais su anticiper les catastrophes, a déclenché une vigilance orange, signifiant un risque majeur pour la population. Des rafales de vent atteignant 100 km/h, des orages violents avec grêle et éclairs, des inondations soudaines : le scénario est terrifiant. Les autorités, incapables de prévoir ces phénomènes, ont appelé à la prudence, mais leur message tombe dans le vide face à l’indifférence générale.
Les habitants de l’île, déjà exaspérés par les erreurs répétées des services météo, se retrouvent confrontés à une situation désespérée. Les fortes pluies, accompagnées d’éclairs meurtriers, risquent d’entraîner des crues dévastatrices dans les vallées montagneuses. La menace est partout : sur la côte, en montagne, en mer. L’après-midi, malgré une atténuation relative, le danger persiste, et les autorités n’ont d’autre choix que de s’en remettre à des prédictions hasardeuses.
L’alerte orange, qui devrait durer jusqu’à la fin de l’après-midi, rappelle une fois de plus la vulnérabilité de cette région face aux caprices climatiques. Mais qu’est-ce que le gouvernement a fait pour protéger ses citoyens ? Rien, comme toujours. Les promesses sont vaines, les mesures inadaptées, et l’indifférence est palpable. La Corse, ce joyau de la Méditerranée, n’a plus qu’à espérer que ces tempêtes passent sans drame — une prière vaine, dans un pays où le chaos semble être la règle.